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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 10:56

Les CME de Sainte-Maure sont venus passer une journée au collège et ils ont assisté aux cours des sixièmes. En français, nous avons lu le début du poème de Maurice Carême "Alphabet", A Cloche-pied, dont voici le début :

Alphabet

A c’est l’âne agaçant l’agnelle,

B c’est le boulevard sans bout,

C la compote sans cannelle,

D le diable qui dort debout.

 

E c’est l’école, les élèves,

F le furet, féru de grec,

G la grive grisant la grève,

H c’est la hache et l’homme avec.

[...]

 

Ils se sont amusés à le continuer : voici leur production !

I une idée idéale,

J un jeu japonais,

K un karting sans kart,

L un long lit.

 

M un modèle modelé,

N une note notée,

O un oiseau obéissant,

P un papa poule.

 

Q un questionnaire sans question,

R une route routière,

S une saucisse qui saute,

T une tomate toute troublée.

 

U un uniforme universel,

V un voyage voyant,

W un wagon WC,

X un xylophone xénophobe,

Y un yacht yellow,

Z un Zorro avec un zèbre.

Pierre et Sara-Halina.

 

I ce sont les idées d'Idefix,

J comme jouer au jet-ski,

K c'est le kangourou qui fait du karaté du karaoké,

L c'est Léa qui lit un livre.

 

M c'est Molière qui mâche des macaronis,

N c'est Noémie qui est née à Nantes,

O c'est une oie qui observe un oiseau en octobre,

P c'est un papy qui prépare ses petits-enfants.

 

Q c'est un quadrilatère qui a quatre côtés,

R c'est une rose rouge,

S c'est un serpent qui slalome entre les sapins,

T c'est une tasse sur une table à côté d'un tableau.

 

U c'est Ulysse qui s'urbanise,

V c'est Valentin qui va à Valence,

W c'est un wagon qui va à Wallis,

X c'est un xylophone de Xian,

Y c'est Yassine qui va à Yalta,

Z c'est un zèbre qui zigzague.

Maëlle et Amel.

 

I comme  l’idée pour impressionner,

J c'est jouer joyeusement,

K c'est un kit de kilomètres,

L c'est la lettre de la lune.

 

M c'est la maman maternelle,

N la nature négociable,

O comme une orange obscure,

P c'est une promenade en paix.

 

Q la quantité est une quête,

R une rivière de rigolade,

S c'est un saumon qui saute dans la semoule,

T la technologie télescopique.

 

U l’urne est une usine usagée,

V Valentin vit une vie dans une voiture,

W Washington aime les sites Web,

X X-men fait du xylophone,

Y il aime les yaourts Yogourt,

Z un zèbre qui zozote.

Dorian et Valentin.

 

I l’invention est importante,

J c’est jouer la joie,

K le kiwi aime le kayak,

L la ligne est longue et libre.

 

M ma maman m’aime,

N le noir est nomade,

O oublier, c’est obscur,

P pourquoi perdre ?

 

Q une quantité qualitative,

R le rôti est rudement raide,

S le serpent fait un serment,

T tout est terrible.

 

U les urbains sont utiles,

V viens voir vite,

W le waterpolo est white,

X le xylophone est xénophobe,

Y Yalta et York,

Z Zavatta et Zeppelin.

Joël-Antoine et Axel M.

 

I c’est l’igloo immaculé,

J c’est le jaguar qui jette un jambon,

K c’est le kiwi kidnappé par un kangourou enragé,

L c’est la loi du lieutenant lion.

 

M c’est la mangue mangée par ma maman,

N c’est le nid sur un nénuphar,

O c’est l’obligation d’une opération,

P c’est le père Noël qui parait parti.

 

Q c’est la question qui questionne,

R c’est du riz qui rit,

S c’est sa sœur qui sauve le serpent,

T c’est le texte que je traduis.

 

U c’est l’unanimité pour les U. V.,

V c’est le voyage en voiture,

W c’est le wagon muni de trois WC,

X c’est le xylophone qui torture,

Y c’est le yacht conduit par Yann,

Z c’est Zorro qui sème le zinzin.

Mario et Kyllian.

 

I l’imperfection est invisible,

J c’est jouer, joliment,

K c’est le kangourou qui fait du karaté,

L c’est lire une lettre.

 

M c’est le maître qui m’enseigne,

N nerveux n’existe pas,

O c’est l’ordinateur orange,

P c’est papa qui part dans un palace.

 

Q c’est questionner : « qu’est-ce que tu fais ? »,

R c’est rougir de rage,

S c’est sucer une sucette,

T c’est tomber dans un trou.

 

U c’est urbaniser une ville,

V les vacanciers vont en vacances,

W sur le Web avec le wifi,

X c’est jouer au xylophone,

Y les figurines Yoshi sont au port de Yokohama,

Z c’est Zorro qui signe un Z à l’épée.

Bastien et Esteban.

 

I comme  l’idée pour impressionner,

J c'est jouer joyeusement,

K c'est un kit de kilomètres,

L c'est la lettre de la lune.

 

M c'est la maman maternelle,

N la nature négociable,

O comme une orange obscure,

P c'est une promenade en paix.

 

Q la quantité est une quête,

R une rivière de rigolade,

S c'est un saumon qui saute dans la semoule,

T la technologie télescopique.

 

U c'est Uranus qui est usagé,

V c'est le vampire qui vend ses vacances,

W c'est le wapiti qui part en week-end,

X le xylophone de Xénus,

Y les yeux de la yourte,

Z c'est Zorro qui zigzague entre les zèbres.

Aliénor et Enora.

 

I c'est l'image imaginée,

J c'est le journal du jour,

K c'est le kilomètre kidnappé,

L la lance en laine lancée.

 

M la machine mangée,

N le niveau noir nivelé,

O l'ordinateur qui offre des oignons,

P le pâtissier qui est patricien.

 

Q les quelques questions en quarantaine,

R le robot réfrigérateur qui range les râteaux,

S le sel qui est sacré,

T le téléviseur qui tolère les trains.

 

U l'urne qui est usée,

V le Vésuve qui est visé,

W le wagon dans le Web,

X le xylophone qui est xénophobe,

Y le yéti sans yo-yo,

Z le zèbre qui est zinzin.

Axel T.

 

 

I une installation interminable,

J jette un jouet,

K fait du karaté sans kimono,

L un lézard laissé sur un lacet.

 

M le meilleur mécanicien du monde,

N Noël n’est pas nouveau,

O l’ogre mange des oranges,

P a plaqué un piranha.

 

Q dans sa quête, il se questionne de questions,

R rassemble des raquettes,

S c’est un scandale : plus de saucisson,

T travaille ton tableau.

 

U l’uniforme universel,

V va en vacances en train à vapeur,

W a vu un wapiti en week-end,

X a un xylophone,

Y c’est un yéti sur un yacht,

Z c’est un zèbre zinzin.

Nollan et Nathan.

 

I c’est imagine des images,

J c’est jouer tout le jour,

K c’est un kiwi qui fait du karaté,

L c’est la limace du laurier.

 

M c’est maman qui m’aime,

N c’est la nourrice qui nourrit,

O c’est l’oiseau qui ouvre la gueule de l’ours,

P c’est papa qui part.

 

Q c’est le qatari qui questionne,

R Rémi rit,

S le serpent sort du sentier,

T c’est le train traînant.

 

U c’est l’usine qui use,

V le vent ventile,

W le wapiti dans le wagon,

X c’est le xylophone qui joue,

Y c’est Yves qui mange du yaourt,

Z le zèbre est zébré.

Adélaïde et Gyno.

 

I l’iguane sans image,

J la jolie jeune Julie joue,

K le kangourou fait du kayak,

L la lune lumineuse.

 

M la marmotte sans museau,

N le nandou niche dans son nid,

O l’orang-outan mange des oranges,

P la peinture sans pinceau.

 

Q quelques fraises, sans queue,

R le renard rampe dans son repaire,

S en sortant la serpillère, on sent le serpent,

T la tortue mange des tomates toutes rouges.

 

U l’ultime univers,

V la vache va dans le verger,

W le wallaby est dans le wagon,

X Xavier joue du xylophone,

Y le yack fait du yoga,

Z le zèbre zozote.

Alison et Léa.

 

I c’est l’image indiscrète,

J le joli jouet,

K le koala dans un kayak,

L c’est le lilas plein de libellules.

 

M c’est la manière de manipuler,

N la nuit noire,

O c’est l’oiseau qui vole au-dessus de l’océan,

P le programme de la progression.

 

Q le quadrillage à qualifier,

R c’est raconter, en raccourci,

S c’est sauter comme une sauterelle,

T le tableau teint.

 

U c’est uniquement urgent,

V le volet vert,

W le wagon roule le week-end,

X la xylographie sur un xylophone,

Y c’est un yaourt, en forme de yourte,

Z le zèbre dans le zoo.

Adèle et Louise.

 

I c'est irrégulier et inouï,

J c'est un joli jet-ski,

K c'est un kamikaze qui fait du karaté,

L c'est un lion lâche.

 

M mange des macaronis,

N est né à Noël,

O est un océan sans os,

P pense à son pépé.

 

Q a une grosse quantité de quartz,

R regarde rarement du rap,

S savoure la salade du Sacré Cœur,

T c'est très technique.

 

U Ursule habite en Ukraine dans l'université,

V  se venge de la vache,

W  boit toujours du whisky dans les WC,

X c'est un xylophoniste qui a un xylophone,

Yc'est un professeur de yoga qui joue au yo-yo,

Z c'est le Zorro du zoo de Zibo.

Mathurin et Antoine.

 

I c’est un igloo invocateur d’esprit,

J c’est le jardin japonais,

K c’est le koala qui chante au karaoké,

L le labyrinthe long.

 

M la machine mortelle,

N c’est le nouveau numéro,

O c’est l’organe orageux,

P c’est la peluche en pelote.

 

Q c’est le quartier en quart,

R c’est le raffoler de radis,

S ce sont les souvenirs dont on se souvient,

T c’est le tuteur de la tomate.

 

U c’est l’uniforme urgent,

V c’est la victime vivante,

W c’est un wagon de wasabi,

X c’est le xylophone qui hurle,

Y c’est un yacht du Yaoundé,

Z c’est le zèbre de Zorro.

Raphaël et Justin.

 

 

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 09:45

Les élèves de sixième ont étudié Alice au Pays des merveilles de L. Carroll. Ils ont écrit des textes par imitation du début du conte. Alice rencontre d'autres animaux...

Bonne lecture et n'hésitez pas à laisser des commentaires.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » Mais quand l'écureuil doré sortit un calendrier de sa veste, se dépêcha puis tomba en s’emmêlant les pattes, Alice se leva d'un bond car elle n'avait encore jamais vu d'écureuil doré avec un calendrier. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa maison.

     Le grand chêne se présentait d'abord droit comme un arbre sans fin, avec une branche par centimètre ; Alice se trouva en train de monter jusqu'à la cime du grand chêne.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers des cadres accrochés dans l'arbre, représentant cet écureuil doré.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, BOUM ! BADA ! BOUM ! Elle arriva enfin assise en haut de la cime du chêne.

Nina.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil dorée passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire renvoyer de mon poste de photographe ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un appareil photo d'une veste en jeans, l'alluma puis prit une photo, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec un appareil photo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans un jardin.

     Le grand chêne se présentait d' abord comme une échelle montant très haut dans le ciel ; Alice se retrouva en train de monter dans l'arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le jardin ; enfin ; elle tourna son regard en haut du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, crack ! Crack ! Elle se trouva maintenant à la cime du chêne.

Sorenza.

 

      Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d’entendre un écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais être tout sale ! » ; Mais quand l’écureuil doré sortit un miroir de sa poche, se regarda puis le rangea, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil avec un miroir. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter le long du tronc, sur un grand chêne.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme une règle ; Alice se retrouva entrain de grimper le long du chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les feuilles du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, cric, crac ! Elle tomba sur la cime de l’arbre.

Laure.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis désorienté ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa veste, regarda l'aiguille, puis  partit vers le sud,  Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait droit comme un soldat. Alice se retrouva en train de monter vers le haut du grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voire en haut ; ensuite, elle regarda une des branches enfin, elle tourna son regard vers un oiseau.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, crac ! Crac ! Elle arriva à la cîme du chêne.

Amélie.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa chemise, regarda l'aiguille, puis chercha le nord, Alice se leva d'un bond car elle n'avait  jamais vu d'écureuil doré avec une chemise et une boussole. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le chêne se présentait d'abord comme un grand vigile. Alice se retrouva en train de grimper dans un arbre, sans fin.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cime de l'arbre ; enfin, elle tourna son regard  vers une corde qui pendait de couleurs « bleu, blanc, rouge ».

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain «  Boum bada boum ! ». Elle tomba sur le haut du chêne, en forme de nid.

Jules L.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais appeler mon ami pour lui dire que je serai en retard » ; mais quand l’écureuil doré sortit son portable de son pantalon, appuya sur les touches puis parla très fort, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, au milieu d’un bois touffu.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme une longue chenille qui se tordait. Alice se retrouva en train de courir vers l’arbre à glands, au milieu du bois sombre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d’elle ; enfin elle tourna son regard vers l’endroit où l’écureuil était monté.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Voh ! Voh ! ». Elle fut téléportée à la cime du chêne.

Romane.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

    Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire couper la tête ! », mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de sa veste, regarda le sable qui tombait puis bondit plus haut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’un étang.

     Le nénuphar se présentait d’abord avec une grosse fleur blanche et un rond vert. Alice se retrouva en train de sauter sur un autre nénuphar.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la taille de l’étang, enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba au fond de l’étang.

Léo.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je fume trop, aussi certain qu’un éléphant est un éléphant ! » Mais quand l’écureuil doré sortit une pipe de son jean, fuma puis se dirigea vers un grand chêne, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une pipe. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter dans l’arbre, dans le pré.

     Le grand chêne se présentait d’abord petit puis quand on le contemplait, on le voyait toucher les nuages. Alice se trouva en train de grimper jusqu’aux cieux.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda les branches ; enfin elle tourna son regard en bas.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! » Elle heurta une branche, en haut du chêne.

Luc.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice  ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : «  Oh !  Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois écrire mon livre ! » mais quand l’écureuil doré sortit un stylo de son pantalon, l’ouvrit puis écrit sur sa main, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un stylo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le passage secret d’un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le grand chêne se présentait d’abord droit comme un piquet ; Alice se retrouva en train de monter par l’échelle du grand arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers l’intérieur du chêne qui était violet enfin elle tourna son regard vers le sol qui lui était jaune.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva sur une branche, à la cime du chêne.

Adèle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil ; quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois rentrer ou les noisettes seront trop cuites ! » ; mais quand l’écureuil sortit son sablier de sa cape, le retourna puis se hâta, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, derrière le pré, à la lisière d’une forêt.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme un gratte-ciel puis se penchait vers sa cime ; Alice se retrouva en train de monter dans l’arbre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda une branche enfin elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime du grand chêne.

Kyllian.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « OH ! Là ! Là ! Là ! OH ! Là ! Là ! Là ! Je suis en manque de noisettes ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un portable de sa poche, l’alluma puis regarda l’heure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter à toute vitesse dans un grand chêne, au milieu de petits buisson.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme un immense arbre bien droit avec de belles branches, couvertes de feuilles marron.

     Alice se retrouva en train de réfléchir devant l’immense arbre. D’abord elle essaya de voir en haut ; elle regarda derrière le chêne ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Boum ! Badaboum ! ». Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Mario.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller casser des glands ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une cuillère de son pantalon, cassa les glands puis les emporta pour les manger, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une cuillère. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir entrer dans le trou d'un chêne, au milieu d'un champ.

     Le chêne se présentait d'abord immense, il avait énormément de feuilles ; Alice se retrouva en train d'observer le passage de l'écureuil doré.

     D'abord elle essaya de voir en haut, ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers le trou du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « clac ! Clac ! ». Elle échoua à la cime du chêne.

Félix.

 

     Alice  commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là !  Je dois rentrer, il ne faut pas que je laisse brûler ma tarte aux fraises des bois ! »; mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de la poche de sa veste, courut puis tourna à droite, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier dans une poche de veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, dans une mare.                                                                                

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grosse feuille verte ; Alice se retrouva en train de plonger dans la mare.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite, elle regarda autour de la mare ; enfin, elle tourna son regard vers le ciel.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Glou ! Glou ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Baptiste.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vois la reine au loin ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa longue-vue de sa salopette, cria de peur puis s’enfuit vers un arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une longue-vue. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir jongler sur le grand chêne, à la cime de l’arbre.

     Le grand chêne se présentait d’abord entortillé comme un ressort ; Alice se retrouva en train de sauter sur les branches.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le champ ; enfin, elle  tourna son regard vers le sol.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain  « Bing !  Bing ! » Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Dorine.     

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : «Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois rentrer rapidement à la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit le cadran solaire de son chapeau melon, observa le soleil puis se hâta de rentrer, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un cadran solaire, à l'intérieur d'un chapeau melon. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans une mare, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d'abord comme un tapis de nénuphars vert pomme très sombre ; Alice se retrouva en train de plonger dans une mare très profonde.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau; ensuite elle regarda vers les rives ; enfin, elle tourna son regard vers les nénuphars de la mare et s'aperçut qu'ils cachaient une grande quantité de grenouilles.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « BOUM ! BOUM ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Quentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir  à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil,  quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle,  en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de sa veste, regarda l’aiguille indiquant le nord puis partit vers la forêt,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu  d’écureuil doré avec une boussole.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa balançoire.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de très longues branches, des feuilles vertes et brillantes et un gros tronc ; Alice se retrouva en train de monter sur chaque branche, vers le haut de l’arbre.  

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les petites branches ; enfin, elle tourna son regard vers le tronc du chêne, qui était plein de trous.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Badaboum ! Badaboum ! ». Elle tomba assise sur la cime de l’arbre.

Maïwen.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne peux pas déposer cette mallette à temps ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une petite mallette de son costume, la regarda, puis commença à courir, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une mallette et un costume. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir  disparaître dans l'eau.

     Le nénuphar se présentait d'abord assez large avec une belle fleur ; Alice se retrouva en train de sauter sur les autres nénuphars.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin elle tourna son regard vers l'étang.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba brusquement dans le fond de la mare.

Axelle.

     Alice commençait à se sentir lasse d'étre assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré  passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! La ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller au club lecture ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un livre de sa veste, l’ouvrit puis lut la première page, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste d'où il pouvait sortir un livre. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le grand chêne, dans la forêt.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme un arbre gigantesque avec plein de glands ; Alice se retrouva en train de grimper sur le grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda une drôle de bibliothèque accrochée à des branches ; enfin, elle tourna son regard vers des casiers où étaient rangés des livres.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quant soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime de l'arbre.

Jeanne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit son agenda de sa veste, le regarda pour l'heure du rendez-vous puis hurla qu'il est très en retard, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste et un agenda. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans le trou du chêne, dans la grande forêt, loin de sa sœur.

     Le grand chêne se présentait d'abord très haut, tout droit et des branches poussaient dans tous les sens ; Alice se retrouva en train de rentrer dans le grand chêne immense.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait, quand soudain, « Ouille ! Ouille ! ». Elle se cogna à la cime de l'arbre.

Louise.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis à la porte ! »; mais quand l’écureuil doré sortit ses clefs de son pull, chercha la bonne clef puis disparut dans l’arbre,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pull avec des poches. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans sa maison, dans un grand chêne.

     Le grand chêne permettant d’entrer dans la maison par une petite porte se présentait d’abord avec un escalier en forme de spirale ; Alice se retrouva en train de monter dans le grand chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers les branches du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Waouh ! Waouh ! ». Elle réussit à atteindre la petite porte, en haut du chêne.

Enola.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois activer l’ascenseur ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit la télécommande de son pull, appuya sur une touche puis avança d’un saut de géant, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une télécommande. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans l’ascenseur, au milieu du grand arbre.

     Le chêne se présentait d’abord en faisant une boucle de trois cent cinquante sept mètres ; Alice se trouva en train de faire les cent pas devant l’arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cabine dans l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers une drôle de maison à oiseaux, accrochée au chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait !

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain : « Frac ! Frac ! ». Elle tomba la tête contre les branches de la cime de l’arbre.

Etienne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas ça étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! » Je vais être pauvre ! » ; mais quand il sortit son billet de sa veste en or, repartit à la recherche d’argent puis acheta des objets de valeur, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un billet et une veste en or. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter sur le grand chêne, dans un grand trou.

Le chêne se présentait d’abord haut comme une girafe avec des petits coffres-forts accrochés à l’écorce ; Alice se trouva en train de monter vers le haut..

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda vers les coffres enfin elle tourna son regard à gauche, vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Pliiif ! Pliiif ! ». Elle arriva à la cime du chêne, qui sembalit tout doré.

Estèphe.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas pouvoir passer à la maison ! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit un sablier de son pantalon, écarquilla les yeux puis détala, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier et un pantalon. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps, pour le voir monter dans l’ascenseur, dans le chêne.

Le grand Chêne se présentait d’abord comme immense ; Alice se trouva en train de regarder à l’intérieur de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda autour du tronc ; puis, elle tourna son regard vers les branches les plus hautes.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait, quand soudain « Pslatch ! Pslatch ! ». Elle s’arrêta, assise à la cime du chêne.

Gabrielle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise à côté de sa sœur sur le talus, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un Ecureuil Doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’Ecureuil Doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je n’ai pas lu le livre de Jacko ! » ; mais quand l’Ecureuil Doré sortit ses lunettes de sa veste, prit un livre puis le lit, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’Ecureuil Doré avec une veste et des lunettes. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le prè, arrivant juste à temps pour le voir monter dans son chêne, pour aller dans son ascenseur.

   Le grand chêne se présentait d’abord très grand en forme de vague ; Alice se retrouva à monter dans l’arbre dans un ascenseur.

    D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle tourna son regard vers les boutons.

    Elle montait, montait, montait.

    Elle montait, montait,  montait quand soudain « Rrr glou glou boum pffffff ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Evan.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien n'avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois me dépêcher ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit ses clés de son pantalon, courut puis ouvrit sa voiture, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des clés. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant  juste à temps pour le voir courir dans la forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme  un arbre qui possédait beaucoup de glands et qui était immense ; Alice se retrouva en train de grimper le long de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite ; elle regarda par terre ; enfin elle tourna son regard vers le haut du grand chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Bam ! Bam ! ». Elle tomba au pied du chêne.

Louis.

 

Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vois rien ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit des lunettes de la veste, les enfila puis les ajusta, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des lunettes et une veste. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans une forêt.

Le grand chêne se présentait d'abord tordu comme une branche ; puis Alice se retrouva en train de monter dans un tronc.

D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin ; elle tourna son regard à travers les branches.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait quand soudain, « Crac ! Crac ! Elle s'accrocha à la cime  du chêne.

Elisa.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois démêler les nœuds » ; mais quand l’écureuil doré sortit une corde de son pantalon, la démêla puis marcha à vive allure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une corde et un pantalon.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, vers le haut d’un grand chêne.

Le grand chêne se présentait d’abord comme immense et couvert de petits glands ; Alice se retrouva en train de grimper vers le haut de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda la cime de l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle grimpait, grimpait, grimpait.

Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Hourra ! Hourra ! ». Elle arriva au sommet de l’arbre.

Axel.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Les branches de cet arbre ne sont pas droites du tout !!! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit de sa salopette un niveau à bulle, trembla pour l’ajuster, puis le posa sur une branche, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un niveau à bulle. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans le chêne, à l’entrée de la forêt.

Le chêne se présentait d’abord tout biscornu portant une échelle sans fin ; Alice se retrouva en train de monter au milieu de l’arbre.

D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda l’horizon ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours quand soudain « Splash ! Splash ! ». Une branche catapulta Alice à la cime du grand chêne.

Romain.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je vais courir chez moi, car je n’ai pas fermé ma porte à clé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa clé, l’accrocha à la poche de sa veste puis courut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un veston et une clé. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec des feuilles multicolores, des glands rouges et verts et de multiples branches ; Alice se retrouva en train de grimper tout en haut de celui-ci.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda ce qui se passait à terre ; enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! ». Elle atterrit à la cime du grand chêne.

Laura.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.      

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : «  Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois faire mon plongeon ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit des lunettes de plongée, les mis puis sauta sur un nénuphar, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec des lunettes de plongée. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un autre nénuphar au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d’abord comme un nénuphar normal, puis il se mit à bouger puis à descendre comme un ascenseur ; Alice se retrouva en train de descendre au fond de la mare.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite elle regarda à la surface, enfin elle tourna son regard sur les rives.

     Elle descendait, descendait, descendait.                                                        

     Elle descendait, descendait, descendait quand soudain « Bip !  Bip !  Bip !  Bip !  Bip ! Bip ! ». Elle arriva au fond de l’eau, dans un monde étrange.

Romuald.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle en sautant.

 Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis très en avance pour le repas dînatoire ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un réveil de son veston en tissu noir, observa si l’alarme allait sonner puis se mit à ralentir, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un réveil qui sortait d’un veston en tissu. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’une mare.

Le nénuphar se présentait d’abord sur l’immense mare qui s’étendait à des centaines de kilomètres ; Alice se retrouva en train de l’observer non loin de cette étendue d’eau.

D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda au fond de celle-ci ; enfin, elle tourna son regard vers la grenouille vert pomme qui d’engouffrait dans le liquide verdâtre.

Elle nageait, nageait, nageait.

Elle nageait, nageait, nageait quand soudain, « Glouf ! Glouf ! ». Elle se retrouva aspirée, au fond de la mare.

Maëva.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa prés d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Un prisonnier s’est évadé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un pistolet de sa tunique de policier, le chargea puis tira, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pistolet. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans la forêt.

     Le chêne se présentait d’abord comme très grand et très haut ; Alice se retrouva minuscule, devant le chêne.

     D’abord, elle essaya de voir la cime, ensuite elle regarda la forêt ; enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crack ! Crack ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Valentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré murmurer : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois donner à manger aux oiseaux ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de son pantalon, s’orienta avec son objet puis courut jusqu’à son arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pantalon et une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir courir dans la sombre forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de grandes branches énormes et sèches ; Alice se retrouva en train d’observer le grand chêne, qui se cachait dans la sombre forêt.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda la cime du chêne, enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, « Pif, Paf, Pouf ! ». Elle tomba assise, à la cime du chêne.

Jules E.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien à avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de son jean déchiré, la regarda puis commença à stresser, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole et un jean déchiré. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter sur un grand chêne, dans la forêt

     Le grand chêne se présentait d'abord droit, puis, il était de plus en plus sinueux ; Alice se trouva en train de gravir vers le haut de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le long du tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.                                                       

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crac ! Crac ! ». Elle fut assise sur la cime de l'arbre. 

Angelique.

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmoner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas voir mon émission préférée ! » ; mais quand elle sortit un programme télé de sa veste, regarda les horaires puis se dépécha, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un programe télé et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré,  arrivant  juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grande feuille verte sans tige, Alice se retrouva en train de monter sur un autre nénuphar, au milieu de l'eau.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda au loin, enfin elle tourna son regard vers le pré.

     Elle regardait, regardait, regardait.

     Elle regardait, regardait, regardait, quand soudain « Plouf, plouf ! ». Elle vit qu'elle était sous l'eau, au fond du lac.

Jules C.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais le lui offrir ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un collier de son gilet, le regarda puis le rangea, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un collier. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d'abord rond comme un ballon ; Alice se retrouva en train de sauter sur le nénuphar.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau, ensuite elle regarda la surface limpide enfin elle tourna son regard vers les poissons.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Schplouf ! Schplouf ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Manuela.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans  rien avoir faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là !  Là ! Je dois aller vite ouvrir le coffre dans la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une clé de sa veste, la nettoya puis ouvrit un coffre dans l’eau, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une clé. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans un coffre, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d’abord très grande ; Alice se retrouva en train d’observer les abords de l’étang.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la surface de l’eau ; enfin elle tourna son regard vers un coffre, sous un nénuphar.

     Elle nageait, nageait, nageait.

     Elle nageait, nageait, nageait  quand soudain « Boum ! Boum ! ».  Elle se cogna la tête contre le coffre, au fond de la mare.

Inès.

    

 

 

       

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 14:40

Après avoir étudié Les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont imaginé leur métamorphose, en dauphin, en cheval ou en paon... Certains textes ont été écrits à deux.

 

Soudain, je vois mes bras et mes jambes se transformer en nageoires. Ma voix fait des sifflements merveilleux et magnifiques. En n'allant me baigner, je commence à nager comme les dauphins. Le lendemain matin, en me regardant dans un miroir, je m'aperçois que je suis bien devenu un dauphin.  

Maxime.

 

Soudain, mon corps s'allonge et grandit. Ma peau s'adoucit, s'affine et s'obscurcit. Puis, mes bras et mes jambes disparaissent et laissent place à d'élégantes nageoires. Mes oreilles se volatilisent et deux trous prennent leur place. Ma bouche s'allonge et prend une forme de bec. Ma voix se transforme en un sifflement aigu.

Mon ouïe se développe. Je suis stupéfait. Peu à peu, mes yeux s'écartent de chaque côté de ma tête. Une multitude de dents petites et pointues apparaissent enlevant mes anciennes dents. Le dieu Poséidon a exaucé mon rêve. Il m'a métamorphosé en dauphin.

François.

 

Soudain, ma peau durcit et rosit. Je suis  stupéfait. Mon poil devient un pelage de couleur isabelle et mes cheveux deviennent une crinière blanche et noire. Mes jambes grandissent et mes ongles se transforment en sabots. Ma bouche devient une énorme mâchoire. Mes oreilles s’allongent. Ensuite une queue apparait.  Ma voix se transforme en un hennissement. Ma vue s’améliore tout comme mon ouïe et mon odorat. Je me comporte comme un cheval. Je considère que c’est un miracle du dieu Poséidon.

Samuel et Alban R.

 

Soudain, ma peau durcit, devenant lisse, brillante et grisâtre. Mes bras se rapetissent laissant place à de souples nageoires. Mes jambes se rapprochent et disparaissent en une magnifique nageoire. Mes pieds s'aplatissent. Ma bouche s'allonge, se raidit et son bout s'arrondit. Mes oreilles disparaissent. Un fin évent se forme dans mon dos. Mon corps s'arrondit légèrement. Je me mets à émettre de magnifiques sifflements. Je persiste et ces cris me semblent familiers. Mon nouveau corps fuselé me permet de nager rapidement dans les merveilles eaux de l'océan : je suis devenue un dauphin.     

Méliane.

 

Soudain, mon corps s'élargit. Ma peau s'adoucit pour laisser place à un léger pelage. Mes bras et mes jambes s'allongent et se munissent de sabot. Ma bouche grossit et devient un museau. Mes oreilles s'assouplissent et se dressent au-dessus de ma tête. Une crinière et une queue apparaissent tout doucement. Ma voix disparaît et je hennis. Mon ouïe et mon odorat se développent.

Après ma transformation, je galope dans les prés, tout en sautant par dessus les barrières.

Je suis devenue une jument !

Rachel et Magella.

 

Soudain, ma taille diminue et de gigantesques plumes poussent sur tout mon corps. Mes bras se transforment en ailes multicolores et ocellées ; mes jambes se terminent par des peids palmés. Une longue queue apparaît dans mon dos. Ma bouche se transforme en un bec pointu et mes oreilles deviennent des ouïes. Ma voix s'arrête et je pousse un braillement. Je fais la roue de temps à autre en déployant mes grandes plumes. Je repère très bien les objets ou les gens grâce à ma vue extraordinaire. Je suis devenu un paon.

Axel.

 

Soudain mon corps rapetisse et se couvre de plumes. Mes bras se métamorphosent en bec orangé. Mes pieds s’affinent, s’assèchent et deviennent trois petits doigts de pieds. Ma voix disparaît et se transforme en braillement. Mes oreilles rapetissent jusqu’à en devenir minuscules. Une gigantesque queue apparaît pleine de plumes multicolores. Je n’entends presque plus mais par miracle ma voix et ma vue doublent. Emerveillée, je fais la roue et je me montre majestueusement. Je suis devenue un paon.

PAULINE.

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 12:00

Durant un travail effectué en groupes de compétences, sur les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont tout d'abord écrit un texte individuellement ; puis, nous les avons lus ensuite, nous en avons rédigé un collectivement.

 

 

La métamorphose de Zeus en cygne.

 

Tout d'abord, Zeus rétrécit et maigrit. Son corps s'arrondit et sa peau s'adoucit, s'affine et se recouvre d'un plumage blanc. Puis, son cou s'allonge. Sa tête se déforme et ses yeux bleuissent et s'arrondissent, en se décalant de chaque côté. Ensuite, sa bouche se rigidifie en un bec orange. Ses bras s'allongent et deviennent des ailes. Ses jambes se solidifient et se transforment en des pattes palmées. Enfin, Zeus est un cygne.

 

 

 

 

Durant un travail effectué en groupes de compétences, sur les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont tout d'abord écrit un texte individuellement ; nous les avons lus puis nous en avons rédigé un collectivement.

La métamorphose de Zeus en cygne.

Tout d'abord, Zeus rétrécit et maigrit. Son corps s'arrondit et sa peau s'adoucit, s'affine et se recouvre d'un plumage blanc. Puis, son cou s'allonge. Sa tête se déforme et ses yeux bleuissent et s'arrondissent, en se décalant de chaque côté. Ensuite, sa bouche se rigidifie en un bec orange. Ses bras s'allongent et deviennent des ailes. Ses jambes se solidifient et se transforment en des pattes palmées. Enfin, Zeus est un cygne.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 11:06

Les élèves de sixième ont lu et étudié Le Petit Prince d'Antoine de St Exupéry. A la fin de la séquence, je leur ai demandé d'exprimer leur avis sur cette lecture. Il devait s'adresser directement à l'auteur ! De jolis textes, débordant de sincérité et de spontanéité ! En les lisant, peut-être vous donneront-ils envie de lire ou de relire le Petit Prince.

 

N'hésitez pas à laisser votre avis ou votre commentaire !

 

Je trouve votre livre très intéressant surtout les personnages comme l’allumeur de réverbère qui a un très « joli » métier, comme le dit le petit prince. J’ai vu et appris surtout qu’il existe plusieurs choses sur la Terre comme l’amitié, l’amour …. J’ai fait de mon mieux pour comprendre vos mots et votre texte était quand même assez simple à lire. Même si je ne lis pas beaucoup, ce genre de livre, je l’ai très bien aimé.

Amélia.

 

J'ai aimé votre histoire car le petit prince part sur d'autres planètes. Les personnages sont très imaginaires et leurs métiers sont originaux. Les constructions de phrases sont bien parce qu'elles donnent l'impression qu'on remonte le temps. Les dessins sont vraiment bien faits. J'ai aimé la planète du petit prince, de l'allumeur de réverbère, et celle du businessman. Il y a juste un défaut, à la fin : je ne sais pas si la rose meurt ou si elle dit au petit prince « je t'aime ».

David.

 

J'aime votre livre car il est émouvant, j'y ai appris des choses, comme lorsque le renard donne la définition du verbe « apprivoiser ». C'est un livre qui me fait penser encore plus aux autres. On y trouve des moments tristes et merveilleux comme lorsqu'il quitte sa planète et que sa fleur lui dit tout ce qu'elle a sur le cœur. Je me pose parfois des questions au sujet de certains passages. Ce livre est l'un des meilleurs que j'ai lu.

Méliane.

 

J'ai bien aimé votre livre car il y avait de l'aventure. J'ai bien aimé les dessins et l'aventure qu'a vécue le petit prince. Les amis qu'il a rencontrés, sont étranges. Aussi, je l’ai apprécié parce que c'était drôle et fantastique.

Samuel.

 

Je n'ai pas beaucoup aimé votre livre car il ne m'a pas inspiré. L'histoire n'était pas très intéressante, pour moi. Cependant, j'aime bien les personnages car ils sont très étranges et drôles. La couverture est jolie et les dessins aussi. Je trouve que certains dessins manquent de couleurs.

Clémence.

 

Je n'aime pas votre livre parce que ce genre de littérature ne me passionne pas malgré la popularité de votre ouvrage. Mais j'aime les illustrations de votre conte.

A mon sens, il n'y avait pas assez d'actions, le monde imaginaire de votre récit ne m'a pas passionnée car je préfère les histoires qui racontent des actions qui se rapprochent de la réalité.

Romane.

 

J'ai bien aimé le petit prince car votre livre est très poétique et très instructif ; il m'a permis d'ouvrir les yeux sur certaines choses auxquelles je n'aurais peut-être pas pensé ou alors même pas remarqué.

Apolline

 

Pour moi, Le Petit Prince est un livre que je relirais plusieurs fois dans ma vie. Un livre parfait ressemble à çà. La première de couverture donne envie de le lire ; les dessins sont bien dessinés et merveilleux. Les dialogues sont amusants et bien écrits. Pour moi, votre livre a donc toutes les qualités. Votre histoire est extraordinaire.

Rachel.

 

J’aime beaucoup votre livre car il exprime l’art d’écrire pour les enfants pour que dans leur tête, il s’imagine volant avec le Petit Prince de planète de planète, en découvrant à chaque chapitre, une histoire nouvelle.

Les personnages sont bien choisis car on peut trouver une différence, quelque chose qui les différencie dans chacune de leur personnalité : le vaniteux qui se vante ou l’allumeur de réverbère qui a une activité qui ne sert pas mais qui est jolie car on peut penser que le réverbère est une fleur ou une étoile qui naît chaque jour ou chaque nuit quand il allume ou qu’il éteint son réverbère.

Les dessins sont magnifiques, très bien dessinés : ils décrivent parfaitement le Petit Prince et chaque chapitre du livre.

Le titre est très approprié au livre car le personnage principal est le Petit Prince.

Bravo !

Mahaut.

 

J’ai bien aimé le petit prince, car votre livre est instructif. En effet, il m’a permis de connaître des mots nouveaux et il m’a fait comprendre de nombreuses choses.

Vous avez fait des dessins qui sont pour moi pas très beaux mais nous ne pouvons pas être bons partout. Les personnages sont bien pensés.

Sérieusement, votre livre m’a beaucoup plu et je ne suis pas la seule si je puis me permettre, un grand bravo à vous !

Emma.

 

Je trouve que votre livre est très intéressant car les personnages sont bien imaginés. J’ai aimé le buveur ou le géographe : ils sont très recherchés. J’ai aussi aimé le dialogue entre le renard et le petit prince. Ces paroles m’ont transporté dans votre monde. Le vocabulaire reste simple, et vos dessins sont à votre image, plein d'imagination.

Tim.

 

Je pense que votre livre du petit prince est formidable car il est agréable à lire ; l'histoire est positive. J'aime le caractère exigeant de la rose. Et grâce au renard, je peux mieux comprendre la signification des mots « apprivoiser » et « vaniteux ». J'en conclus donc que le petit prince est un livre merveilleux et surprenant.

Julien.

 

J’ai bien aimé votre livre car l’histoire est intéressante et elle peut convenir à des enfants. Les rencontres du petit prince sont passionnantes .Les personnages sont très étranges mais aussi très amusants. Le vocabulaire est simple mais pas trop. Les dessins sont, je trouve assez bien faits. La fin est mystérieuse mais c’est quand même une belle fin. Merci pour cette agréable lecture.

Enola.

 

J’ai apprécié votre livre Le Petit Prince. Je l’aime bien car il reflète la personnalité des enfants (le boa fermé ou ouvert). C’est un livre fantastique et merveilleux car il reste dans l’imaginaire sans trop déborder dans les histoires magiques ou irréelles. J’aime surtout le passage du renard car le petit prince trouve enfin un véritable ami à qui se confier, et c’est ce qu’il cherchait.

Tom.

 

Monsieur St Exupéry, j'ai beaucoup aimé votre livre Le Petit Prince car votre livre est émouvant, passionnant et merveilleux.

J'aime aussi que cette histoire ne soit pas violente car vos personnages sont tous gentils, ils ont tous leur passion, leur caractère et surtout leur savoir-faire qu'il partage avec le petit prince.

La construction des phrases est très bien simple.

Axel.

 

Je n’aime pas votre histoire car elle ne m’intéresse pas. Il n’y a pas assez d’actions. Je ne me suis pas attachée aux personnages. Je n’étais pas pressée de savoir la suite de l’histoire. Je n’ai pas envie de relire ce livre.

Pauline.

 

J’aime beaucoup votre livre. Je trouve qu’il raconte une très belle histoire.

C’est un livre qui m’a marquée, puisqu’il parle des grandes personnes autrement que nous. Pour le petit prince, les grandes personnes ne comprennent jamais rien, alors que pour nous, c’est tout le contraire.

Le passage que j’ai surtout préféré, c’est celui entre le petit prince et le renard qui se rencontrent. Le renard lui apprend des choses à propos de sa rose qui vont permettre au petit prince de réaliser qu’elle est unique.

Magella.

 

Je n’ai pas trop aimé votre livre car je le connaissais déjà mais je l’ai relu. Grâce aux questions vues en classe, elles m’ont permis de mieux le comprendre. L’idée de la rencontre entre le renard et le petit Prince est bien imaginée. Les planètes sont drôles ; par exemple, celle de l’allumeur de réverbères qui éteint et qui rallume les réverbères toutes les minutes. Je ne trouve pas vos dessins très beaux mais ils sont plutôt originaux.

Alban R.

 

J'aime votre livre, car il y a des passages qui font rire et que je trouve que vous faites preuve d'une grande imagination. Je n'ai encore jamais lu un livre où l'auteur se met dans son histoire. Je trouve que pour quelqu'un à qui on a gâché la carrière de dessinateur étant petit, vous dessinez très bien. Je trouve fantastique et très étrange la manière dont le petit prince rentre chez lui.

François.

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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 14:54

Comme tous les ans, les élèves de sixième "George Sand" ont écrit des contes, suite à leur visite au château du Rivau ! Cette année, les jardins ont subi quelques petites transformations inattendues...

Lisez leur production et laissez-leur des commentaires pour les encourager !

Le début de leur conte a été écrit par toute la classe.

 

 

 

Il était une fois, une vieille fée, ayant la vue un peu basse e et qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, un sort fut jeté par la vieille fée qui avait encore utilisé sa baguette, à tort et à travers, sur les bottes géantes qui marchèrent toutes seules.

Tout d’abord, les bottes cassèrent la porte du château et elles y entrèrent. La fée, qui vit les dégâts que les bottes avaient faits, leur jeta un autre sort : elle les transforma en un arrosoir géant pouvant contenir trois cents litres d’eau. L’arrosoir sortit du château, marcha vers la forêt enchantée et arrosa toutes les plantes du jardin. Comme il existait un second arrosoir qui se remplissait tout seul et qui arrosait déjà les jardins, ce fut bientôt l’inondation.

La vieille fée, après avoir remis ses lunettes, constata les nouveaux dégâts. Elle chuchota une nouvelle formule. Et comme il n’y avait plus d’eau dans le premier arrosoir, le second s’arrêta et redevint des bottes géantes qui retournèrent dans le verger.

Justine

 

DSCN1796

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu base, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Le matin-là, la fée se trouva dans la Forêt qui Court et elle aperçut d'immenses jambes rouges.

La vieille fée voulut leur lancer un sort pour les rapetisser mais comme elle n'avait pas mis ses lunettes, elle se trompa en agitant à tort et à travers, sa baguette.

Elle jeta donc son sort ; les jambes allèrent à droite et à gauche puis elles se dirigèrent vers la Famille Pots de Fleurs : les énormes jambes écrasèrent toute la famille.

Heureusement arriva la sœur de la vieille fée qui lui mit aussitôt ses lunettes ; sa sœur jeta un nouveau sort pour arrêter les jambes qui ne bougèrent plus ; elles étaient de nouveau à leur place, c'est-à-dire dans la Forêt qui Court. Et tout devient de nouveau normal.

Léa

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Un après – midi, la fée se trouva dans la Forêt enchantée. Puis elle alla en courant vers le labyrinthe. La créature se mit à dire une formule au hasard ; le joli labyrinthe resta normal. Alors la fée recommença à la prononcer, mais en bougeant sa baguette à tort et à travers et l'immense labyrinthe se métamorphosa ; les haies devinrent des arbres. Sa forme au lieu d'être un chat se transforma en une sombre forêt. La jolie fée partit tranquillement, ne s'étant aperçu de rien.

Heureusement, sa cousine sut rapidement que la vieille fée se servait de sa baguette sans raison. Alors elle alla la voir pour l'aider. Quand elle fut arrivée, elle vit le labyrinthe déformé en cette étrange forêt. Après l'avoir regardé, la petite fée courut voir sa cousine. La jeune créature remarqua toute suite que sa cousine ne portait pas ses lunettes car elle avançait sans savoir où elle allait. La jeune femme décida de l'obliger à les mettre mais têtue, elle refusa. La petite fée prit les binocles et les lui mit. La fée se regarda dans un miroir et elle accepta de les porter. Quand elle découvrit ce qu’était devenu le labyrinthe, elle agit rapidement pour qu’il reprenne sa forme initiale.

A partir de ce moment, sa cousine voulut vivre avec la fille de sa tante pour la surveiller. Les deux fées vécurent heureuse ensemble dans les jardins du château du Rivau. Quant à la vieille fée, elle ne faisait plus de bêtises car elle portait tout le temps ses lunettes.

Annabelle

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter ses lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée se trouva dans le labyrinthe et elle fit pousser et grandir les haies avec sa baguette au fur et à mesure de son parcours. Elle déforma ce labyrinthe en forme de chat en une gigantesque broussaille qui ne ressemblait plus à rien. Ensuite, les racines des haies se mirent à bouger et à se déraciner de terre. Hansel et Gretel se trouvaient dans ce dédale quand la vieille fée avait utilisé sa baguette à tort et à travers. Quand ils virent les racines bouger, ils eurent peur et ils se mirent à courir.

La vieille fée qui pouvait observer ce malheureux spectacle malgré sa vue basse, essaya de mettre fin à ce désastre mais elle se trompa et ordonna aux racines d’attraper les jeunes enfants par les pieds : ils étaient donc prisonniers.

Heureusement le cousin de la fée, Merlin, apparut et prononça la formule magique suivante : « Frapatapou poupépoupéïé elafrepeteu ! » Aussitôt, les racines lâchèrent les enfants qui tombèrent sur le sol et qui rentrèrent chez eux en courant. Pendant ce temps, Merlin dit à sa vieille cousine qu’il allait prendre sa place dans les jardins et qu’elle pouvait rester dans son château pour se reposer…

Grégoire.

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau  avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres. 

Cet après-midi-là, la fée se trouva dans les jardins des senteurs et elle vit un gros pot  rouge. Dans ce pot, se trouvait  une énorme fleur bleue et rose. La jolie vieille femme ne vit pas ce qu’elle faisait, elle donna plein de coups de baguette magique, à droite et à gauche.

Tout à coup, la fleur se mit à parler et elle perdit toutes ses belles couleurs. Choquée, la fleur décida de remettre les lunettes sur le nez de la fée pour qu’elle voie les dégâts qu’elle avait faits.

La jolie vieille femme découvrit le végétal tout blanc qui hurlait, alors elle répara ses erreurs en prononçant une formule de rétablissement de situation « Abracadabra». Aussitôt la fleur retrouva ses belles couleurs bleues et roses.

Ophélie

 La Varenne et le Rivau - 23 mai 2013 011

Il était une fois une vieille fée à la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Un après-midi, la fée se trouva dans le potager de Gargantua où se trouvait une taupe énorme. La fée la regarda et la trouva trop immobile à son goût. Elle prit sa baguette, la secoua à tort et à travers de sorte que la taupe fasse un geste de la patte mais à la place, la taupière se mit à vivre. Comme la gigantesque taupe  était installée au milieu du potager, elle se mit à tout dévorer.

Quand elle eut fini de manger, elle se promena dans les jardins mais elle écrasa les arbres en marchant. Quand la fée l’apprit, elle était très en colère après sa baguette, de s’être trompée.

Par colère, elle la jeta dans un puits et tous les sorts s’achevèrent. Se rendant compte de son erreur, la fée mit ses lunettes et se trouva encore plus belle qu'avant.

Mylène

 

 

 

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Un matin, la fée aperçut un arrosoir, elle prit sa baguette et se mit à lui jeter un sort. L'arrosoir se remplit, se leva et se dirigea vers le Phénix. Malheureusement, le Phénix venait de mourir et il aurait dû renaître de ses cendres.

Mais l'arrosoir surgit de nulle part, se renversa sur l'oiseau de feu. Comme il n'avait pas fini de renaître de ses cendres, il se désintégra complètement. La fée s'aperçut de son erreur. A partir de ce jour, elle voulut mettre ses lunettes pour que le Phénix renaisse et qu'il retrouve sa place sur la volière.

Benoit

 

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette magique pour admirer les œuvres.

Ce matin-là elle eut envie d’aller vers le verger. Elle aperçut des formes géantes qui devaient appartenir à l’ogre. Mais comme elle avait la vue un peu basse, elle prit les bottes pour des arbres. Elle se servit de sa baguette magique à tort et à travers et elle les fît grandir encore plus qu’elles ne l’étaient auparavant. Plus grande encore que le château. Elle pensait que les arbres étaient les plus beaux d’entre tous. Tout à coup les bottes prirent vie car les chênes sont vivants.

Elles se mirent à marcher et elles détruisirent tout sur leur passage. Quand l’ogre découvrit ce que la fée avait fait, il eut envie de se débarrasser des bottes car elles ne lui servaient plus à rien. Mais comme ces chaussures hautes couraient très vite, il eut du mal à les rattraper.

Pendant ce temps, le propriétaire du château du Rivau pleurait car tout était détruit dans les jardins, à cause de la fée. Il l’appela et elle revint directement au château. Le prince la supplia, en expliquant la situation ; il fallait qu’elle remette ses lunettes pour tout réparer. Pour convaincre la fée de les porter, il promulgua une loi : «Interdiction de se moquer de la fée avec ses lunettes sous peine d’amende. »

La fée remit donc ses lunettes, puis elle chercha les bottes, les trouva et les figea. Puis, elle leur redonna leur taille normale et elle remit tout le jardin en état.

Depuis ce jour, le prince et la fée vécurent heureux ; ils eurent beaucoup d’enfants mais chacun de leur côté.

Adrien

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie .Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Cet après midi-là, la fée se trouva dans le verger ; elle sortit sa baguette, elle en fit usage à tort et à travers et jeta un sort aux bottes pour les rapetisser, pour qu’elle puisse les essayer. Mais au lieu de les rapetisser, elle dit la mauvaise formule et les bottes bougèrent et s’agrandirent.

Les chaussures hautes saccagèrent tout sur leur passage. Le Pot Rouge fut cassé quand elles tapèrent dedans et les arbres furent écrasés sous leur poids.

Tout à coup, la fée vit les bottes s’avancer vers elle. Elle prit peur et courut voir son amie, Aline. Elle lui conta tout ce qui s’était passé. Son amie Aline lui conseilla de mettre aussitôt ses lunettes ou elle lui casserait sa baguette pour quelle ne puisse plus s’en servir. La fée décida donc de porter ses lunettes pour arrêter les bottes et pour réparer tout les dégâts causés dans le jardin. Elle prononça aussi une formule magique : «ABACICASOUMA » et tout se remit en place.

Comme elle avait mis ses lunettes, elle put se servir de sa baguette sans aucun problème.

Isabelle

 

 DSCN1792

   

Il était une fois une vielle fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée traversa le Forêt Enchantée puis elle vit un Arrosoir qu’elle trouvait bien triste. Elle décida donc de se servir de sa baguette magique pour lui donner vie. A peine eut-elle le temps de donner un coup de baguette que l’arrosoir se remplit d’eau. Son action la fit bien rire et elle poursuivit son chemin.

Tout-à-coup, l’enchanteresse se trouva les pieds dans l’eau. Quand un touriste s’aperçut de cette inondation, il vit la bienveillante et il lui demanda si c’était elle qui avait provoqué cette catastrophe avec sa baguette. La fée ne répondit pas. Mais elle se rendit compte qu’elle avait fait une grosse bêtise. Alors elle décida de remettre ses lunettes et de se servir une dernière fois de sa baguette pour réparer les dégâts, avant de s’en séparer .Dés le lendemain tout fut normal : les jardins avaient retrouvé leur splendeur.

Axelle.

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes, par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, la fée se rendit près de la Volière où se trouvait le Phénix. Celle-ci fit usage de sa baguette à tort et à travers et le Phénix se mit à voler au-dessus du Château.

Au même moment un jeune homme apparut ; il s’appelait Merlin l’enchanteur. Il avait des dons magiques. Il portait tous les jours sur lui, son épée magique. Il alla vers la fée. Il s’avança doucement vers elle, et là, d’un coup, elle se retourna. Alors elle prit sa baguette et elle lui jeta un sort à Merlin. Mais au même moment, l’enchanteur lui jeta un sort encore plus fort que le sien ; il prit son épée et il la toucha. Aussitôt la fée tomba en arrière. Merlin lui vola sa baguette et il la lui cassa ; ainsi, elle ne pourrait plus l’utiliser.

Le Phénix reprit sa place au-dessus de la volière et tout rentra dans l’ordre.

Alice

 

 

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait dans les jardins du Château du Rivau, avec  sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, la fée se rendit dans le Verger où des Bottes géantes s'y trouvaient. Ensuite, elle prit sa baguette enchantée et elle s'en servit à tort et à travers. Le sort envahit les Bottes géantes qui se mirent à bondir dans le Verger. Malheureusement, la marraine ne put pas les arrêter car elle ne voyait rien du tout sans ses lunettes.

Heureusement un nain réveillé par les multiples sursauts, sortit de la botte gauche. Alors, il attrapa un râteau merveilleux et il essaya d'hypnotiser les grandes chaussures. Mais son sort ne fonctionna pas : il ne savait plus quoi faire. Or, il eut une idée : prononcer une formule magique très connue : « ABRACADABRA ».  Quelque secondes après, un mur de pierres blanches apparut face à la vieille fée qui s'y buta. En tombant par terre, sa baguette se cassa. Aussitôt, les Bottes géantes s'arrêtèrent de sauter et le nain s'endormit tranquillement.

Les jardins retrouvèrent toute leur tranquillité.

Valentin S.

 

 

Il était une fois, une vieille fée, ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes, par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Lorsqu’un jour, la fée donna un coup de baguette sur le Phénix  à coté de la volière. Ce sort fit craquer la chaîne qui empêchait l’oiseau immortel de s’envoler. Ce dernier s’envola au-dessus de la Forêt qui Court et l’enflamma. Heureusement, au même moment, un opticien arriva et dit à la fée qu’elle devait porter ses lunettes. Mais elle refusa ; alors l’opticien retourna chercher dans sa boutique et trouva des lentilles. Il revint auprès de la fée pour les lui montrer. Elle voulut bien les porter car elle se trouva plus jolie qu’avec ses lunettes. Malheureusement pendant tout ce temps, la Forêt qui Court continuait à brûler. Elle alla donc vite réparer  sa bêtise. La dame bienfaisante rattrapa l’oiseau de feu puis prononça une formule magique : « Abracadabra » pour arrêter l’incendie.

Le Phénix revint sur la volière et se raccrocha à sa chaîne. Avec une autre formule, elle replanta des arbres et sema de belles grandes jambes rouges. Ce soir-là, la fée organisa une grande fête à laquelle était invité l’opticien.

Brieuc.


Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres. Or, elle aimait aller dans le labyrinthe. Ce jour-là, elle y rentra ; désespérément, elle essaya de trouver la sortie : sans succès. Alors elle se servit de sa baguette à tort et à travers et transforma le labyrinthe en un gigantesque labyrinthe qui n’avait plus aucune sortie. A l’intérieur, elle avait en plus ajouté des pièges. Tous les visiteurs y étaient également tous prisonniers avec le gérant du château. La fée réussit à sortir en passant à travers une haie et à s’enfuir dans la Forêt Enchantée.

Or, de l’autre côté de la forêt, Tom Pouce marchait tranquillement quand tout-à-coup il entendit des cris. Alors il se précipita vers les cris et vit le gigantesque labyrinthe, dans lequel étaient prisonniers des gens qui criaient. Tom Pouce rentra dans le dédale et aida les personnes à en sortir. Mais il ne retrouva pas son chemin. Alors il passa sous les haies de trente mètres de haut et il alla chercher un taille-haie. Mais il y avait un problème… le taille-haie était trop lourd pour lui. Il réfléchit un instant et trouva une idée. Il sortit sa baguette magique pour faire lever le taille-haie et il prononça une drôle de phrase : « Bougaga Bobo Lamama, lève-toi ! » Alors l’outil se leva, suivit Tom Pouce qui le mit en route et qui tailla la haie. Trente minutes plus tares, il laissa passer les personnes dans le tunnel. Ils étaient sauvés et ils purent partir. Tom Pouce était fier de lui, mais il restait encore un problème à résoudre ; il devait retrouver la fée. Alors, il alla voir un paon à qui il demanda s’il l’avait vue. L’oiseau répondit qu’il l’avait aperçue dans la Forêt Enchantée. Arrivé dans la forêt, il vit la fée à qui il ordonna d’arrêter de transformer les éléments du jardin. Mais il comprit que la vieille femme ne le faisait pas exprès car il vit qu’elle ne portait pas ses lunettes. Il lui fabriqua donc avec un sort, de nouvelles lunettes. Mais l’enchanteresse ne voulait toujours pas les porter. Alors Tom Pouce prononça un sort pour la figer : « Abricabroca Tacabra Figera Galabo » et elle se statufia. Tom Pouce mit les lunettes sur la fée et prononça un autre sort pour la libérer : « Fifefofu Farfelu Défigeait Goloma ». Elle le remercia car elle voyait mieux ; elle partit.

Tom Pouce, tout fier de son exploit rentra aussi, chez lui. Si la vieille fée apprenait qu’elle avait des lunettes, Tom Pouce serait maudit.   

Lancelot.

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée se trouva dans le Potager de Gargantua où elle vit une taupe géante. Elle eut l’envie de la changer de couleur mais comme la vieille fée ne mettait pas de lunettes, elle se trompa de formule et la taupe rentra dans son trou.

Elle ressortit une dizaine de mètres plus loin en formant un autre trou. La fée s’aperçut qu’elle venait de faire une erreur mais elle ne sut pas comment l’arrêter. Elle agita sa baguette et se téléporta dans le Verger où elle s’assit sur une botte pour réfléchir. « Comment arrêter cette taupe avant qu’elle ne fasse des trous dans tout le jardin ? » Tout à coup, la vieille fée se sentit soulevée de terre. Elle perdit l’équilibre et tomba en s’exclamant « Saperlipopette ! » Sa baguette heurta à ce moment-là la taupe géante. Lorsqu’elle se redressa, elle se trouvait dans le potager de Gargantua en contemplant la taupe. L’enchanteresse se rendit compte qu’elle avait fait un retour dans le passé.

Claire.


Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans  les jardins du Château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Tous les samedis matin, la reine du Rivau, Éléonore, venait arroser les plantes. Le samedi suivant, la reine aperçut les Bottes et l’Arrosoir géants qui était devenus tout petits. Elle ne comprenait pas ce qui c’était passé. Elle alla trouver la vieille fée et elle lui demanda pourquoi ses deux objets étaient devenus minuscules. Elle lui répondit que sa baguette était incontrôlable mais la reine comprit que c’était un mensonge.

Le samedi suivant, les objets étaient toujours aussi petits et la reine en colère chercha un personnage qui pouvait l’aider et qui habitait au Château du Rivau. Elle le trouva et elle lui demanda s’il savait pourquoi ces objets avaient rétréci. Il lui répondit que c’était la vieille fée qui les avait rapetissés car elle ne voyait plus rien. Aussitôt Éléonore alla trouver l’enchanteresse à qui elle ordonna de mettre ses lunettes pour réparer les dégâts. Mais la vieille fée refusa car elle se trouvait laide et vieille avec ses lunettes ; mais la reine ne céda pas et elle lui dit que c’était pour son bien. Résignée, la vieille fée accepta et elle mit ses lunettes. Éléonore retourna dans le jardin avec l’enchanteresse. L’arrosoir débordait et les bottes avançaient toutes seules. En les voyant, l’enchanteresse prit sa baguette et arrêta tout. Les bottes et l’arrosoir devinrent de nouveau géants.

Clémence.             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 19:10

Comme tous les ans, les élèves de sixième "Pierre de Ronsard" ont écrit des contes, suite à leur visite au château du Rivau ! Cette année, les jardins ont subi quelques petites transformations inattendues...

Lisez leur production et laissez-leur des commentaires pour les encourager !

Le début de leur conte a été écrit par toute la classe.

 

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Le même jour, elle voulut laver quelques nains négligés par les employés et elle consulta donc son vieux grimoire qui traînait dans son grenier. Mais sa vue se brouilla et elle ne put voir que le début de la formule : « Abracadabra zut, zat, zot ... ». Elle pensa que la formule ferait certainement son effet ; elle descendit donc les marches quatre à quatre pour voir le résultat.

 Quand elle arriva, les nains n'étaient pas lavés mais ils avaient pris vie et ils se mirent à courir dans tous les sens ! Certains s'enfuirent dans le labyrinthe et d'autres ouvrirent la cage du Phénix ; tous les oiseaux s'envolèrent ! Quelle catastrophe ! La vieille fée était affolée ! Soudain elle eut une idée ; elle allait transformer les bottes de sept lieues à sa taille afin de pouvoir rattraper les nains.

Elle prit donc son grimoire et essaya de lire la formule magique mais elle ne vit toujours pas la formule : « Abracadabra ché pas cha ». Or comme elle vit que les bottes changeaient pour se mettre à sa taille, elle se dit que ce n'était pas grave. Mais à peine les avait-elle enfilées qu'elle ne put plus les contrôler. Les bottes marchèrent dans tous les sens ; elles écrasaient tout sans faire attention aux dégâts qu'elles causaient. Quand elles s'arrêtèrent, le jardin était complètement dévasté.

La fée était catastrophée ! « Que faire ? » se dit-elle. Heureusement, elle se souvint qu'elle n'avait pas lu toute la formule car elle ne voyait bien sans ses lunettes et que sans elles, elle ne pourrait plus pratiquer la magie.

Elle se rappela que dans sa chambre trônaient des montures avec des verres à sa vue, - toutes bonnes fées doivent les porter quand leur vue baisse ! La vieille fée mit alors ces binocles et se rendit compte qu'elle voyait beaucoup mieux. Elle fouilla dans sa bibliothèque à la recherche du « grimoire qui a réponse à tout » pour trouver la formule qui remettrait le jardin en ordre.

Quand elle trouva cette fameuse formule, elle put lire enfin le contenu sans problème : « Abracadabrut, remets tout en ordre, depuis le début ». Puis elle se coucha avant même de voir le résultat car elle avait eu une journée bien remplie.

Le lendemain matin, elle se dépêcha de s'habiller pour aller se promener dans le jardin et voir l'effet de la formule : tout était rentré en ordre. « Tout est bien qui finit bien finalement » se dit-elle en souriant. Depuis ce jour , elle porte ses lunettes !

 

Claire-Emmanuelle.

DSCN1751

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardin du Rivau .

Un jour, elle utilisa sa baguette magique à tort et à travers sans faire attention aux conséquences.

La fée essaya donc la baguette magique, mais elle a inondé le labyrinthe en remplissant l'arrosoir géant qui ne cessait de déborder. Alors elle voulut réparer les dégâts mais elle n'y arrivait pas. Elle prononça une première formule : «Abracadabrou » mais elle ne s'en rappela plus ;  « Abracadabrou » mais ce n'était pas la bonne. Heureusement elle eut une autre idée. Ce devait être « Abracadabri » : c'était enfin la bonne formule ! Le labyrinthe devint tout sec et tout les visiteurs purent de nouveau se perdre dans le dédale des jardin du Rivau.

A partir de ce jour-là, la vieille fée porta ses lunettes et nota ses formules dans un joli grimoire.

Mathilde.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences.

La fée marchait dans le jardin quand tout à coup une taupe géante lui fit un croche-pied. La vieille fée était très furieuse après la taupe qui ne l’avait pas respectée. 

La vieille fée décida de maudire l’animal et de la transformer en statue, au milieu du jardin. Elle avait eu sa revanche. Mais comme elle avait transformé la taupe, le jardinier qui l’avait vue, confronta la vieille magicienne. Elle se fâcha et elle transforma le vieil homme : il ne restait plus que ses bottes géantes, placées dans le verger.

Heureusement le jardinier avait un ami qui était l’ogre. Le jour de la transformation, l’ogre était dans sa maison et il avait vu ce qu’avait fait la fée. Il était très furieux et il obligea la fée à porter ses lunettes, pour donner vie de nouveau à son ami : ce qu’elle fit aussitôt.

Aujourd’hui, les bottes sont toujours dans le verger et la taupe dans le potager de Gargantua.

Sophie.

 

 

Il était une fois, une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers sans faire attention aux conséquences. Elle commença donc sa promenade tandis qu’un vieil homme l’observait avec attention. Soudain, elle transforma du bout de sa baguette le labyrinthe en vrai et grand chat.

Stupéfait, le vieil homme courut voir sa sœur qui était aussi une fée et qui lui conseilla de lui voler sa baguette pour que l’étourdie ne fasse pas d’autres dégâts. Il remercia sa sœur.

Le lendemain matin, il retourna aux jardins du Rivau mais l’immense chat avait déjà fait ses griffes sur les soldats de bois et il avait aussi dévasté la Famille Pots de Fleurs.

Or le vieil homme ne se découragea pas et il alla trouver la fée. Cette dernière commençait tout juste à s’endormir près des grandes jambes de la Forêt qui Court. Il lui prit doucement sa baguette et il regarda la fée : il ne put s’empêcher de l’admirer. Tout à coup, le chat miaula très fort et réveilla la fée qui s’aperçut qu’elle n’avait plus sa baguette. Confus, le vieil homme accepta de la lui rendre si elle portait ses lunettes. La femme acquiesça, les mit et en voyant les dégâts, elle remit tout en ordre.

Plus tard, ils se marièrent mais ils n’eurent pas d’enfants. Depuis leur union, la vieille fée passe son temps à tricoter assise dans les jardins du Rivau et  le vieil homme entretient le labyrinthe, les soldats de bois et la Famille Pots de Fleurs.

Eva.

DSCN1769-copie-1

 

 Il était une fois, une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle transforma un petit labyrinthe en un immense labyrinthe monstrueux. Les visiteurs du Rivau y entrèrent, heureux de se promener au milieu de la nature.

Les enfants partirent les premiers en sautant de joie. Les adultes avançaient tranquillement en discutant.

Tout à coup une plante les attaqua puis une autre puis encore une autre.

Les enfants crièrent en courant puis les adultes à leur tour commencèrent à hurler. Plus ils avançaient, plus ils se perdaient. C’était la panique. Les plantes les encerclaient sans qu’ils ne s’en aperçoivent, puis elles les attaquèrent en les griffant avec leurs branches. La fée cachée derrière un rosier entendit les cris. Elle voulut voir ce qui se passait. Elle mit ses lunettes et passa devant le miroir aux paons. Elle constata qu’elle était aussi coquette avec ses lunettes.

Soudain, le système d’arrosage se déclencha. Les plantes surprises lâchèrent leurs proies et retournèrent à leur place. Les promeneurs du Rivau sortirent du labyrinthe et remercièrent le jardinier qui les avait sauvés. Les visiteurs du Rivau se souviendraient de  leur mésaventure et la fée, depuis ce jour, porta ses lunettes.

Théo.

 

 

Une vieille fée à la vue un peu basse et refusant par coquetterie de porter des lunettes, faisait usage de sa baguette a tort et à travers.  

Un jour sans faire attention aux conséquences, elle transforma un des éléments dans le jardin du château du Rivau. Elle monta sur sa tour et elle jeta un sort aux bottes géantes qui avancèrent et qui détruisirent presque tout le jardin. Quelque secondes après, elle utilisa sa baguette sur le labyrinthe qui s'écroula. Tous les arbustes se déracinèrent, un à un.  

Heureusement un de ses amis vit se qu'elle avait fait et il alla la voir.  Après lui avoir parlé, comme elle ne voulait toujours pas porter des lunettes, son ami l’obligea de les mettre pour constater les dégâts. Elle accepta et elle transforma tous les objets qu'elle avait changés. Elle promit de ne plus jamais se servir de sa baguette magique quand elle n'aurait pas ses lunettes. 

Thomas M.

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent  elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau. Elle utilisait sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences.

Un jour, où elle se promenait dans la Forêt qui Court, elle la trouva bien triste. Elle décida de faire vivre les jambes. Or, elle oublia que ces jambes étaient très grandes, et qu’elles couraient donc très vite. Elle prononça une de ses formules magiques et elle agita sa baguette. Les jambes bougèrent, marchèrent et se mirent à courir. Elles n’étaient pas contentes d’être réveillées, alors elles se mirent à poursuivre la vieille fée. Elle cria pour demander de l’aide ; la Famille Pots de terre l’entendit ; le grand père qui était sorcier prononça une formule «Frapadepoupou». Aussitôt les jambes firent demi-tour et retournèrent à leur place en courant.

La vieille fée remercia chaleureusement le grand-père et elle décida de porter des lunettes tout en restant coquette ! 

Manon.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour  rester belle. Souvent elle se promenait avec sa baguette magique, dans les jardins du château du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle transforma les immenses jambes rouges de la  Forêt qui Court de telle manière à ce qu’elles prennent vie. Elles détruisirent toute la végétation sur son passage.

La vieille fée comprit l’utilité de porter des lunettes car elle ne voyait pas correctement les choses qui l’entouraient. Elle dégrada tout le beau paysage qu’elle aimait tant.

Le lendemain, elle alla de nouveau dans les jardins, quand tout à coup un rayon de lumière se refléta sur sa baguette magique qui transforma les bottes géantes de la même taille que celle des jambes rouges. La vieille fée ayant mis ses lunettes, comprit qu’elle pouvait arrêter les dégâts en enfilant les bottes devenues magiques, pour arrêter de détruire la végétation. Ce fut un succès !

Après quelques minutes, le jardin reprit la beauté qu’il avait auparavant. La vieille fée garda ses lunettes et décida de les décorer pour se donner un peu de jeunesse.

Ruben

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa  baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Ce jour-là, elle coupa la grande natte de Raiponce qui tomba sur le Chemin des Fées et coinça les fées qui ne pouvaient plus sortir. Soudain, une autre enchanteresse apparut ; c’était la treizième petite sœur de la vieille fée qui avait entendu toutes les bêtises que son aînée avait faites. Elle décida donc de lui mettre ses lunettes de force. Dès que la vieille fée vit ce qu’elle avait fait, elle arrangea tout et remit tout en ordre. Elle garda ses lunettes pour toujours, même si elle ne se trouvait pas très belle quand elle les portait.

Maely.            

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les Jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers sans faire attention aux conséquences. Elle transforma l'Arrosoir géant qui se remplissait tout seul ; la vieille fée déversa l'eau dans le jardin qui fut tout inondé.

Heureusement, un gardien vint arrêter la vieille fée qui avait causé tout ce désordre. Mais comment allait-il faire ? Tout à coup il eut une idée : il suivit la vieille fée et la surprit par derrière puis il lui arracha sa baguette des mains.

Le gardien put transformer le Jardin du Rivau comme il était auparavant. Il accueillit de nombreuses personnes tandis que la fée décida de mettre ses lunettes pour ne plus faire de dégâts, dans ce si joli jardin.

Florian.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. La vieille fée marchait en sifflant dans le Verger, quand un jardinier passa. La vieille fée se cacha et pour qu'il disparaisse, elle lui jeta un sort ; mais au lieu de transformer le jardinier, elle changea les Bottes du Petit Poucet qui se couvrirent de boue et qui avancèrent dans le jardin. Peu à peu, une boue collante recouvrit tout le sol. La vieille fée ne voyait rien mais elle sut qu'elle marchait dans de la boue. Elle aperçut l'ogre qui se baignait dedans tandis qu'elle ne pouvait plus avancer. Alors elle entra dans la taverne de l'Ogre pour s’y reposer, mais elle se cogna contre les murs : elle décida donc de mettre ses lunettes. Quand elle vit toute cette boue, elle jeta un nouveau sort pour tout remettre en état. Les jardins devinrent de nouveau magnifiques et la fée mit toujours ses lunettes.

Léandre.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Soudain, une taupe géante apparut et elle vit la fée qui était toute triste. Elle se rendait dans le château quand elle entendit une voix derrière elle. Elle se retourna et vit la taupe qui ne pouvait pas bouger. Cette dernière lui demanda si avec sa baguette elle pouvait la déterrer du sol. Cette taupe était paralysée. La fée déterra l'animal du trou. La magie n'avait pas bien fonctionné car le rongeur était en train de tout dévaster sur son passage : la bête cassa les pommiers, arracha les buissons... Rien à faire, c'était un désastre. La fée voulut voir les dégâts alors elle mit ses lunettes et vit les jardins massacrés. A ce moment-là, elle vit un miroir brisé alors elle se regarda dedans et se trouva belle. Elle prononça donc une nouvelle formule en agitant sa baguette : la taupe retourna dans sa taupinière et les jardins retrouvèrent leur beauté.

Depuis ce jour, elle vécut heureuse jusqu'à la fin de ses jours.

Lucas. 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle jeta un sort pour agrandir Le Pot Rouge de la Petite Poucette : « Abracadabra »  et le pot grandit, grandit ! La fée voulut regarder à l’intérieur ; elle prit une échelle, monta tout en haut mais soudain elle tomba dans le pot. Elle cria de toutes ses forces pour obtenir de l’aide mais personne ne répondit.

Elle essaya de faire basculer le pot mais elle ne réussit pas, il ne bougea pas. Heureusement pour la vieille fée, le gardien passait par là ; il entendit du bruit, il regarda autour de lui et il vit l’échelle posée contre le pot. Il monta et y aperçut la vieille fée. Il la sauva mais comme la fée ne voyait pas qui l’avait aidée, elle décida de mettre ses lunettes. Avec l’aide du gardien, elle redonna aux objets leur taille d’origine et ils reprirent chacun le cours de leur vie.

Rachel.

                            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                            

                            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                            

 

 

 

 

 

 


 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 20:46

Ce texte a été écrit par une élève de sixième, suite à l'étude du Petit prince de St Exupéry.

 

 

 

         Le petit prince se trouve dans la région des astéroïdes. Il est proche de l’astéroïde 331. Il s’y rend pour le visiter, pour y chercher une occupation et pour s’instruire. Le septième astéroïde est habité par un remplisseur de lacs. Cette planète a deux lacs : l’un presque vide et l’autre est plein. Le remplisseur de lacs porte un seau et court de droite à gauche puis de gauche à droite pour prendre et vider de l’eau.


« Bonjour », dit le petit prince.


          Mais le remplisseur de lacs ne répond pas ; il continue à courir.


« Bonjour ! crie le petit prince.

- Bonjour, répond le remplisseur de lacs.

- Pourquoi cours-tu d’un lac à l’autre ?

- Désolé, mais je n’ai pas le temps de te répondre. »


        Le petit prince ne renonce pas aussi facilement. Quand il pose une question, il veut une réponse :


« Pourquoi cours-tu ainsi ? » dit le petit prince.


          Le remplisseur de lacs soupire et dit :


« L’un des deux lacs est presque à sec. Je vais donc chercher de l’eau dans l’autre.

- Mais pourquoi vas-tu encore prendre de l’eau quand le lac qui est vide devient plein ? questionne le petit bonhomme.

- Le premier lac devient presque vide alors je fais le chemin inverse pour le remplir à nouveau. » lui répond-il, fatigué de devoir se justifier.


         Le petit prince ne comprend pas trop le raisonnement du remplisseur de lacs et il trouve son travail absurde. Il le salue et part.

                                                                                  Texte inventé et écrit par Claire D.

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 17:02

  Les élèves de sixième ont créé de nouveaux mots en mêlant des animaux et des végétaux ! Un nouveau dictionnaire a donc été créé par eux !

 

 

BLEUETFAUCON n. m. (1380, Invent. de Charles U (bluet) ; du bas lat. falco-.onis, dér. du lat. falx-.cis, faux d’apr. la courbure des ailes ou la forme du bec.) 1. Fleur-rapace carnivore, qui se nourrit essentiellement de vieilles viandes trouvées. Son corps est couvert de pétales bleus, gris et roux ; sa tête se termine par un bec court et crochu. Il porte deux petits pétales semblables à des serres au bout de ses tiges. Végétal-oiseau qui pousse en Amérique du Nord (Canada). Les aventures du Bleuetfaucon en Amérique. (Anne-Lise). 2. Partisan de la force dans le règlement d’un conflit entre végétaux. «Les Bleuetfaucons ont arbitré la guerre entre les variétés d’airelles. »

 

C

 

CHATIRIS n. m. (du lat. cattus qui a remplacé fele d’origine gauloise ou africaine ; du lat. iris, même sens, impr. du gr.) 1. Petit mammifère-fleur à poil doux, aux yeux oblongs et aux oreilles ornementales, qui vit en Euramérique. Grâce à ses tiges rétractiles, il peut se rendre plus petit et échapper à son prédateur le chiencueilleur. La vie du chatiris. (Eva) 2. Personne qui en poursuit une autre pour l’empêcher d’atteindre la pupille avant lui. Si le chatiris l’a empêché de la toucher, il y a un duel. Celui qui dessine le mieux un iris a gagné. « Les enfants doivent être forts en dessin et en course pour gagner au jeu du chatiris ».

 

 

 

CHAT-IRIS n. m. (du lat. cattus ; du lat. iris). 1. Petit animal-fleur à poils bleus, violets, blancs, jaunes et bruns, aux yeux brillants ; aux oreilles pointues et aux longues moustaches. Son corps se termine par une queue de pétales. Mammifère-plante qui vit dans les pays chauds et qui se nourrit d’iris. Trois chat-iris à la maison. (RACHEL). 2. Les jours d’été tous les chat-iris sont blancs. « Les chat-iris changent selon les saisons.»

 

 

 

CHATONORANGE n. m. (du lat. cattus, d’origine gauloise ou africaine « jeune chat » XIIème pume orenge de l’anc.. ital. melarancia, de l’ar. nãrandj, mot d’orig. persane). 1. Petit mammifère-fruit à poils jaunes ou rouges trouvé dans une forêt tropicale en Afrique. Son corps est recouvert d’une écorce épaisse orangée qui le protège de la chaleur et des prédateurs. Animal fruit qui vit dans un chatonoranger. L’arbre du chatonorange. (Maëly). 2. Avoir les yeux chatonorange, c’est avoir les yeux orange, jaunes ou rouges lors d’une éclipse de lune. « Ma mère a eu les yeux chatonorange lors d’une éclipse de lune. »

 

 

 

CHEVALHIBISCUS  n. f. (du lat. caballus , 1829, boiste mot lat. empr. au gr. hibiskos).1. Animal-arbre a quatre tiges, a la queue en forme de fleurs, aux oreilles en forme de feuilles de couleurs rouges et blanches. Il vit dans les centres équestres en France ou dans les prés sauvages .Le chevalhibiscus super héros (Pauline). 2. Cheval d'arçon servant à la gymnastique ou pour la voltige, muni de deux poignées en fleurs pour s'accrocher. « La gymnaste s'entraîne sur le chevalhibiscus. »

 

 

 

CHEVAL-POMME n. m. (du lat. caballus , cheval, avec valeur péjor. Mot gaulois pop.  a éliminé equus en lat. ; du lat. poma, pl. neutre passé au fém en lat. pop. de pomum, fruit, et en bas lat. de Gaule pomme.) 1. Grand mammifère-fruit végétarien équidé à crinière ronde, à pulpe ferme et juteuse, domestiqué par l’homme. Il se déplace sur des sabots ronds ; sa tête est ronde, colorée et son corps se termine par une petite queue. Cet animal vit en Europe. Le cheval-pomme sur une étoile (Sophie) 2. “Fièvre de cheval-pomme”. Elévation forte de la température qui fait tomber le malade dans les pommes. Cet enfant a la grippe: “Il a une fièvre de cheval-pomme”.

 

 

CHEVREAUFRAISE n. m. (du lat. capra, chèvre, 1265, (chevrel) ; du lat. pop. fraga, qui lui a donné l'anc. fr fraie, pl. neutre de fragum). 1. Petit mammifère-fruit de la chèvre-fraisier devenant un chevreaufraise, charnu, auquel sont fixés de nombreux akènes. L'aventure du chevreaufraise. (Ruben). 2. Outil en forme de fruit pour usiner le chevreaufraisier en bois. « Le chevreaufraise a été utilisé pour couper le bois ».

 

CHRYSANTHEME–FLAMANT n.m (Rab. du  pro. flamenc ; du lat. chrysanthémon, du mot grec.).1. Oiseau-fleur échassier au plumage multicolore, recouvert de fleurs orangées en boule, qui s’épanouit en  automne. Il vit uniquement en Russie. Sa particularité est de dormir en boule, le bec caché sous son plumage. Les aventures du chrysanthème–flamant (Mathilde). 2. Faux oiseau-fleur aux couleurs multicolores, aux énormes boules qui est souvent posés sur les tombe, à la Toussaint en novembre. « On dépose un chrysanthème-flamant sur la tombe  de notre grand-mère ».

 

 

E

 

ELEOTRAGUE-MANDARINE  n.m.  (de l'antilope des marais, du lat. méd., du lat. olopus, par l'ang. antilope, de l'anc. fr. « animal fabuleux » ; naranja,  mandarine orange). 1. Antilope-fruit qui vit en Afrique, en voie de disparition. Antilope-fruit des marais, ronde, dont le corps se termine par une queue ; des cornes poussent sur la tête en forme de boules orange. La vie de l'éléotrague-mandarine. (Thomas). 2. Ruminant cornu en forme de boule orange, destiné à être dressé pour nettoyer les marais. "L'agriculteur utilise un éléotrague-mandarine pour son étang".

K

 

KANGOUROUBANANE n. m. (1774, trd. de Mawlesworth, d’une langue indigène d’Australie ; 1602 ; du port. Banana, empr. au soussou de Guinée). 1. Marsupial-fruit d’Australie comestible, au museau allongé, à pulpe très riche. Mammifère-fruit rapide à peau jaune qui vit dans le centre de l’Australie. Il s’autonourrit de bananes qui poussent dans sa bouche, à chaque fois qu’il boit. Il pousse dans un kangourou- bananier. Le kangouroubanane mangé par une sauterelle. (Lucas) 2. fig. Sac banane marron ou jaune en forme de lune. « Aujourd’hui Charles prend son kangouroubanane ».

 

 

 

L

 

 

LOUP-TULIPE n. m. (du lat. lupus, i, loup ; 1600 du turc tülbend (lâle) proprem. « plante turban ») 1. Mammifère-fleur carnivore qui appartient à la famille des canidéliliacés, aux longues et belles oreilles jaunâtres. Le loup-tulipe se nourrit principalement de matière minérale. Il vit dans les régions chaudes de France. Le loup-tulipe en Chine. (Manon). 2. Masque en pâte de verre noir couvrant le pourtour des yeux des animaux. « Le cheval porte un loup-tulipe pour galoper. »

 

M

 

 

MAKIPECHE n. m. (Mot malgache : Madagascar ; fin XIIème. bot. du lat. pop. persica, pl. neutre, passé au fém. de persicum, ponum, "fruit du pêcher"). 1. Animal-fruit comestible,  mammifère lémurien au cœur dur à la chair jaune ou blanche se nourrissant uniquement de pêches jaunes ou blanches. Animal-fruit qui vit dans le makipêcher à Madagascar, menacé par l'homme ; cet animal-fruit est en voie d'extinction. Le seigneur des makipêches (Léandre) 2. Boisson énergisante dangereuse qui peut rendre fou. Boisson distillée à Madagascar. " A mon anniversaire, il n'y aura pas de makipêche , ce sera interdit." 


P

 

 

PIEUVREHORTENSIA  n. f. (1866, Hugo, forme dial. 1773, en l'honneur de la femme (Hortense). 1. Poulpe-fleur  à fleur bleues, roses ou blanches de grande taille, groupées en forme de grosses boules. Mollusque dont les tentacules sont armées de multiples pétales ventouses pour attraper ses proies. La pieuvrehortensia des bois. (Ange) 2. Petit objet en plastique à grosses fleurs qui permet de masser. « Le kinésithérapeute utilise une pieuvrehortensia pour masser son patient. »

 

 

 

PAON-ORCHIDEE n. m. (du lat., du gr. orkhis milieu du XVIII e siècle ; du lat. pawo, pouonis). 1. Oiseau-fleur de la famille des orchidacées originaire d’Asie avec une livrée bleutée à reflets. Gallinacée-fleur mâle à longue traîne de plumes qu’il relève et déploie en fleurs. Durant la parade, le paon-orchidée criaille et dégage une odeur agréable. L’ours et le paon- orchidée (Théo). 2 Sorte de parfum multicolore connu sous le nom de paon-orchidée. « Je me mets du paon-orchidée tous les matins après ma toilette. »

 

R

 

 

ROSE-LAPIN n. f. (du lat. rosa, la rose ; lat. lepus, lepous, lièvre). 1. Fleur-animal en voie de disparition, qui se trouve dans les hautes montagnes sur le continent Arctique. Elle pousse sur quatre tiges poilues ; sa peau est couverte de cent trente pétales dont se dégage une odeur douce et agréable. A la recherche de la rose-lapin. (Margaux)

2. fig. "Poser une rose-lapin", ne pas aller à un rendez-vous avec quelqu'un en l'envoyant sur les roses. " Louis a posé une rose-lapin à Léa".

 

T

 

 

TULIPE CHAT n. f. (1600 du turc, tiilbend, (lâle) prop. rem. "plante turban" ; du lat. cattus) 1. Fleur-animal a quatre pétales, avec de petits pistils poilus qui poussent au centre. Variété de plante très agressive, plante animal qui boit beaucoup d’eau et qui reste immobile. Ses griffes sont rétractiles. Redoutable prédatrice. Sa tige se termine par un bulbe moustachu. La tulipe chat cueillie par les femmes (Florian). 2. « Quand la tulipe chat n’est pas là, les souris dansent  », quand le patron est absent , les employés ne travaillent plus.

 

 

 

 

TULIPECHIEN n. f. (1600 du turc, tiilbend, (lâle) prop. rem. "plante turban" ; du lat. canis). 1. Plante-mammifère à bulbe carnivore, dégageant une odeur agréable, domestique en forme de vase, aux tiges de couleur marron et au flair développé, aux pétales en forme d'oreilles et aux racines poilues. Il en existe un grand nombre de races. Aux Pays-Bas, on cultive plusieurs variétés carnivores. La culture de la tulipechien. (Assil). 2. "Un temps de tulipechien". Temps très désagréable obligeant à porter un globe, en forme de fleur sur la tête. "L'hiver, il fait souvent un temps de tulipechien ".

 

 

 

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 00:00

Les élèves de sixième ont créé de nouveaux mots en mêlant des animaux et des végétaux ! Un nouveau dictionnaire a donc été créé par eux !

 

B

 

 

BANANEGIRAFE n. f. (1602, du port. banana, empr. au soussou de Guinée ; de l’ital giraffa, empr. à l’ar. zurâfa). 1. Fruit-animal très long à peau épaisse et rousse, aux tâches noires formant des dessins polygonaux. Fruit-animal qui pousse en Afrique sur un banagirafier, dont le tronc est très long et rigide. La compote de bananegirafe. (Claire). 2. Très long hélicoptère souvent jaune ou roux dont les pales sont en forme de polygones. « La bananegirafe surveille la réserve. »

C

 

CHAT-FRAISE n. m. (du bas. cattus ; du lat. pop. fraga qui a donné l’anc. fr. fraise). 1. Animal- fruit rouge avec des taches jaunes, à la queue en forme de tige avec des feuilles, aux poils doux, qui vit dans un chaton-fraisier. Le chat-fraise aux Etats-Unis. (Alice). 2. « Sortir de son chaton- fraisier, la nuit», aller chercher une roulette de dentiste. «Les enfants sortent pour trouver un chaton-fraise.»

 

CHATVIOLETTE  n.m.  (du lat. cattus ; du lat. pop. fraga  qui a donné l’anc. fr.  fraie) 1. Mammifère-fleur à cinq pétales, à poils fleuris, aux oreilles à fleurs triangulaires et aux griffes rétractiles. Les aventures du chatviolette.  (Ophélie). 2. Personne violette qui poursuit les autres à un jeu.  « Les enfants jouent à chat-violette. »

 

CHEVALORANGE n. m. (du lat. caballus, cheval ; de l'ar. nârrand, mot d'orig. persan.) 1. Grand mammifère-fruit domestiqué par l'homme pour transporter des agrumes, à la crinière orange, jaune ou rouge. Sa robe a l'odeur de l'orange. Le chevalorange est pressé. (Annabelle) 2. Personne dont la fièvre est très forte et dont le teint peut devenir orange foncé. «Ma grand-mère à la grippe, elle a la fièvre chevalorange. »

 

CHEVALLYS  n. m. (du lat. caballus ; 1175 Chr. de Troyes, pl. du lat. lilium) 1. Grand mammifère-vivace aux longues pattes en feuilles allongées et pointues, au corps recouvert de pétales blancs et à la tête se terminant par de belles fleurs blanches adorantes. Il était un Chevallys.  (Isabelle). 2. « Avoir une fièvre de chevallys » : être malade avec une fièvre très forte qui donne un teint très blanc. « Drizel a une fièvre de chevallys, elle ne pourra pas aller à l’école. »


CHIENBANANE  n. m. (du lat. canis, le chien ; 1602, du port. banana, empr. sousou de Guinée) 1. Animal-fruit domestique à peau épaisse, jaune et noir, à quatre pattes, aux oreilles tachetées de noir et de jaune. Le chienbanane en Guinée. (Justine). 2. Sac formant une pièce coudée d’une arme à feu, se nouant à la ceinture. « Mes parents portent un chienbanane à la ceinture. »

 

CHIEN-BANANE n. m. (1080. du lat. canis ; 1602. du port. banana empr au Sousou de Guinée.). 1. Animal-fruit au pelage jaune à la naissance et marron foncé quand il est adulte. Mammifère particulier qui se nourrit de cacahuètes. Sa taille se mesure en bananes empilées. Animal assez corpulent domestiqué pour être un chien de garde. Il vit dans les pays chauds, accroché dans un canin-bananier, la tête en bas. La véritable histoire du chien-banane. (Grégoire). 2. « Jouer comme un chien-banane ». Expr. fam. exprimant à la fois la difficulté de l’action et le plaisir à la réaliser, utilisée tout particulièrement dans le domaine musical. « Ce morceau est joué comme un véritable chien-banane ! »

 

CHIENTULIPE n. m. (du turc tubbend (lâle) proprem. « plante turban », tulipe ; 1080 du lat. canis, chien.) 1. Animal-fleur au pelage couvert de pétales jaunes qui sentent l’orange quand on les frotte, à la queue en forme de tige, qui vit dans l’eau et qui est vert. Animal plante domestique. Le chientulipe en Asie. (Clémence) 2. Animal-fleur méchant à la tête en forme de globe. « Le chientulipe garde le château. »  

 


CHIENROSE n. m (1080 du lat. canis ; du lat, rosa.)1. Mammifère-fleur de couleur marron et blanc, au pelage couvert de pétales et qui appartient à la famille des chienrosiers. Ils peuvent être de couleur très pâle ou rose bonbon. Son cri est l’aboiement-rosace. Le chienrose dans la montagne. (Léa) 2. Petite peluche rose bonbon, qui rassure les enfants grâce à sa douce odeur apaisante. « La petite fille câline son chienrose. »

 

COCCINELLEJONQUILLE n. f. (du lat. coccinus, écarlate, de coccum, de cochenille ; de l'esp. jonquillo, dimin. de junco. jonc.) 1. Insecte-fleur au corps rouge tacheté de jaune, aux ailes couvertes de pétales. Animal-fleur très odorante qui pousse dans les champs. Les aventures heureuses de la coccinellejonquille. (Valentin). 2. Petit objet jaune taché de noir qu'on accroche à son porte-clés pour porter bonheur à toutes les personnes. «Une personne malchanceuse accroche  une coccinellejonquille à son porte-clés.»

 

COCHONORANGE n.m. (1091, «jeune porc» puis «porc», sans doute d’origine expressive (cri pour appeler les porcs) ; de l'ar. mârand, mot d'origine persane). 1. Animal-fruit vivant au pied d'un oranger, à la peau orange et aux yeux ronds orange. On peut récupérer sa salive qui a le goût de jus d'orange. Les aventures du cochonorange. (Clément)  2. Personne malpropre ou grossière se transformant en agrume d'un jaune  rouge. « Marion a prononcé des cochonoranges. »

 

G

GIRAFETULIPE n. f. (du lat. zurafe ; du turc tulbe) 1 .Mammifère-fleur jaune à pétales de couleur girafe à la tête et aux oreilles en forme de bulbe. Son cou est une longue tige qui se termine par une fleur renflée et évasée à l'extrémité. Le girafetulipe en Hollande. (Thomas). 2. Objet étiré et long qui se termine par un globe (applique électrique. '' Une girafetulipe est accrochée au mur du salon ''.

 

 

L

 

LAPINORANGE n. m. (du lat. lepus, leporis, lièvre ; gr lebêris, lapin ; port. lapar, lièvre, lapâo, lapin ; de l’ar.  mânarel, mot d’origine persane). 1. Petit mammifère-fruit au corps poilu orangé dont la queue à la même forme qu’une orange toute blanche et aux yeux petits, marron et orangés, aux oreilles longues et arrondies. Animal fruit que sent l’orange. Le lapinorange et les piverts. (Mylène). 2. Peluche à la fourrure orange,  jaune et rouge, qui donne des vitamines. « L’enfant malade porte un lapinorange pour être en forme ».

 

LYSLAPIN  n. m. (1175, Chr. de Troyes, pl. du lat. lilium ; du lat. lepous, lepus, lièvre ; gr. de béris, lapine port. laparo, lièvre papâo, lapin) 1. Fleur mammifère rongeur, petite à grandes oreilles, à la tige de couleur marron, aux pétales rayés marron et blanc. Certaines variétés sont tachetées de couleur grise. En hiver, les pétales sont couverts d’une fourrure qui se dispose sur ses oreilles. Le lyslapin en Chine. (Axelle). 2. Matière blanche élastique, très fine. « Ma chemise en lyslapin est très confortable. »

 

P

 

 

POISSONCOQUELICOT n.m. (du latin piscis poisson ; 1545 (-coq) alter. de cocorico.) 1. Animal aquatique fleur en forme de coquelicot aux nageoires composées de pétales rouges, qui vit dans les mers chaudes et tropicales. Un poissoncoquelicot dans l'eau (Florian) 2. "Etre comme un poissoncoquelicot dans l'eau", se trouver dans un bassin de sang rouge vif . "Martin nage comme un poissoncoquelicot ".

 

POISSON-PRUNE n.m. (du lat. piscis ; du lat. pruna pluriel neutre de prunum, prune, prunelle). 1. Vertébré-fruit aquatique violet dont la chair est comestible au goût de prune, avec un noyau au milieu de son corps qui se termine par une queue et des nageoires de chaque côté. Les Poissons-Prunes contre les guêpes. (Lancelot) 2. astro. Nouveau signe du zodiaque du 13 février au 24 mars dont la période est découpée en douze poissons-prune. « Le 14 mars, c’est la fête du poisson-prune et on sert du poisson-prune à volonté ».

 

R

 

 

RAGONDINPOMME n. m. (1867, orig. obscure ; du lat. poma, pl. neutre, passé au fém. en lat. pop. de pommun, fruit et en bas lat. de gaule  « pomme »). 1. Animal-fruit ayant une pomme d’Adam au cou qui amplifie sa voix. Originaire d’Amérique du Sud, il se nourrit uniquement de pommes. Il utilise ses dents, pour enlever chaque pépin. Le Ragondinpomme dans l’étang de la fosse noire. (Brieuc) 2. Pomme de douche en forme de ragondin pour se gratter le dos. « Théodore s’est servi de son ragondinpomme, pour se laver ».   

 

T

 

 

TIGREPOIRE n.m. (du lat. tigris, le tigre ; du lat. pira pl. piron, poire). 1. Grand félin-fruit à la chair parfumée et comestible, avec des bandes noires sur le corps, vivant dans la jungle tropicale. Félin-fruit qui pousse dans le tigrepoirier. Les aventures du tigrepoire. (Benoit). 2. "Couper le tigrepoire en deux" : deux personnes qui s'arrangent en coupant chacun un tigrepoire en deux.   


TULIPECHEVAL n. f. (du turc tulbend lâle  proprem. « plante turban » ; du lat cabulus mot gaulois pop.  a éliminé equus du lat. pop. caballus) 1. Plante-mammifère à bulbe dont la fleur se termine par une grande crinière. Fleur équidé qui pousse sur quatre tiges et se terminant par des bulbes ; fleur animal renflée et évasée à l'extrémité, cultivée par l'homme ; la tulipecheval appartient à la famille des bulbeuses équidés. La tulipecheval et ses pouvoirs (Chloé). 2. Machine à vapeur à 736 wattfleurs, capable de pouvoirs étranges. « L’usine fonctionne avec plusieurs tulipechevaux ».

 

 

 

 

 

 

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